1 juin 2023
Les messages entre groupes de supporters adverses ne sont pas nouveaux. Entre les tribunes et le parcage visiteurs -ou en principe se trouvent les supporters adverses, les chants, provocations et autres activités sont monnaie courante. Ainsi, les stadiers sont amenés à saisir certains matériels -banderoles insultantes, objets pouvant être jetés avant l’accès aux tribunes- pour prévenir d’éventuel incidents.
Malgré ce filtrage, certaines banderoles apparaissent régulièrement dans les stades de football comme lors du PSG/OM d’octobre au Parc des Princes ou du derby LOSC/ RC Lens de mars.
La ligue sanctionne évidemment ces actions qu’elle considère à juste titre comme des provocations dangereuses mais aussi comme des images qui détériorent la qualité du spectacle. De la même manière, lors de chants homophobes ou racistes, des enquêtes sont diligentées en cas de plainte et peuvent entrainer des poursuites pénales et des sanctions administratives pour les fauteurs de troubles.
Le mois d’avril 2023 aura vu l’apparition d’une nouveauté en Belgique : le jet de rats morts sur les supporters adverses !
Là encore, les conséquences de ce type d’agissements sont incontrôlables : mouvement de foule, contre-attaque vers « la tribune lanceuse » pendant la rencontre ou après, aux abords du stade.
L’opération a été soigneusement préparée : « Des spectateurs cagoulés et vêtus de tenues de dératiseur ont lancé ces rats en direction de la T2, une tribune occupée par des familles et des personnes à mobilité réduite » Un spectateur évoque une dizaine de dépouilles animales lancées…. Nous verrons quelles suites la Ligue Belge et éventuellement les clubs concernés donneront à cette escalade de la violence. Dans sa doctrine actuelle, il est probable que l’instance belge mais aussi le club dont quelques spectateurs ont commis ces agissements réagissent fermement. A la suite d’un match interrompu (puis déclaré perdu alors que l’équipe menait…) pour cause de fumigènes envoyés depuis la tribune de ses supporters, le club avait entamé une procédure de dommages et intérêts contre le spectateur identifié.
En France, il est illégal de maltraiter les animaux, comme stipulé par l’article 521-1 du Code pénal. Cet article de loi condamne les sévices graves, les actes de cruauté envers les animaux domestiques ou apprivoisés, ainsi que les actes de nature sexuelle commis sur des animaux.
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